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Expérience lesbienne : « La chaleur qui émanait de sa fente »
Ma main reposait entre mes jambes et comme j'imaginais Léonie en train de se masturber, je ne pus m'empêcher de me frotter moi aussi.
J'ai appliqué un peu plus de pression avec les doigts de ma main droite, les lèvres humides de ma chatte se séparant facilement. Je me caressais lentement le long de ma fente. J'ai poussé mes hanches vers le haut en même temps. Je glissai lentement un doigt dans mon trou serré, laissant échapper un léger gémissement.
Dans mon esprit, Léonie avait maintenant la tête rejetée en arrière, ses doigts frottaient furieusement son clitoris, le pommeau de douche directement contre sa chatte. Ma main gauche jouait maintenant avec mes mamelons dressés à travers mon T-shirt, les tirant et les pinçant. Avec les deux doigts de ma main droite maintenant dans mon trou, je pouvais sentir les parois de ma chatte se serrer sur mes phalanges. J'ai descendu ma main gauche vers mon clitoris mouillé et j'ai commencé à le frotter. Je le sentais palpiter. Je pouvais sentir ma chatte commencer à avoir des spasmes sur mes doigts enfouis. Je fermais les yeux et imaginais Léonie en train de doigter sa chatte délicate, c'était suffisant pour me faire jouir. Je pouvais sentir les contractions dans ma chatte, mon jus commençant à couler entre mes doigts, le summum du plaisir me submergeait.
Alors que mon orgasme se calmait, j'ai retiré mes doigts de ma fente et les ai portés à ma bouche, me goûtant moi-même pour la première fois comme si c’était le jus de Léonie que je goûtais. J'ai remis mes doigts dans mon trou chaud, enfin ma respiration est revenue à la normale et j'ai ouvert les yeux.
Aventure entre femmes : « Je goûtais aux sécrétions d’une femme »
« Tu as l'air excitée quand tu jouis. » J’ai eu un sursaut de panique. Léonie se tenait dans l'embrasure de la porte ; elle était encore mouillée de sa douche, une main caressant doucement son pubis, puis les lèvres de sa chatte, rouges et gonflées, qui se décollèrent légèrement. Je pouvais voir sa fente mouillée scintiller et suinter de son jus d’amour.
J’étais terriblement gênée : mes doigts étaient toujours enfouis dans ma chatte.
Léonie se mit à marcher lentement vers le lit et s'assit sur le bord. J'ai retiré mes doigts de la chatte et Léonie a pris ma main pour la porter à sa bouche. Elle m’a regardé droit dans les yeux alors qu'elle suçait lentement la mouille sur mes doigts.
Léonie prit alors ma main dans la sienne et la porta entre ses jambes, je pouvais sentir la chaleur qui émanait de sa fente. Je tendis un doigt et le plaçai le long de son trou. Elle gémit et se mit à bouger lentement ma main de haut en bas de son clitoris. Mon doigt, désireux de plonger dans son trou sucré, a finalement trouvé son entrée et s'est enfoncé en elle. Elle était tellement mouillée que mon doigt glissa facilement en elle, et puis, sans prévenir, elle enleva ma main et la porta à ma bouche. Pour la première fois je goûtais aux sécrétions d’une femme.
Elle m'embrassa alors passionnément, sa langue se tortillant dans ma bouche, nos langues battant ensemble, notre baiser devenant de plus en plus ardent. Alors que nous nous embrassions, je sentis Léonie placer une main sur ma poitrine. Elle pinça doucement mon mamelon entre son pouce et son index.
Histoire de sexe entre femmes : « Elle s'est agenouillée sur le lit et m'a enjambée »
Je plaçai alors ma main sur sa cuisse, voulant sentir à nouveau sa chatte, et commençai à la diriger vers son sexe. Mes doigts traçaient le haut de sa cuisse.
Je me suis alors allongée et elle a mis sa tête entre mes seins. Je pouvais sentir son souffle chaud sur mes seins puis j’ai senti sa langue commencer à lécher mes mamelons. J'ai alors senti une main courir sur mon ventre puis vers ma chatte.
J'ai gémi quand j'ai senti ses doigts parcourir mon vagin, le long de mes lèvres humides. J'ai ouvert mes jambes, donnant à Léonie un meilleur accès.
J'ai remis ma main entre ses jambes, mes doigts désireux de continuer à jouer avec elle. J'ai poussé d'abord un puis deux doigts en elle, la faisant gémir.
Elle leva la tête de mes mamelons raides, puis elle sortit ses doigts de mon trou humide et les porta à sa bouche et les lécha.
« Je veux ta langue », dit-elle dans un halètement.
Sans dire un mot, elle s'est agenouillée sur le lit et m'a enjambée. Elle m'a regardée et s'est avancée jusqu'à ce que ses genoux soient de chaque côté de ma tête. J'avais une vue parfaite de son entrejambe alors qu'elle s'abaissait lentement.
Je pouvais sentir son doux sexe, je voulais la goûter. J'ai levé la tête et poussé lentement ma langue dans sa fente humide. Elle haleta tandis que je poussais ma langue en elle. Elle se pencha et écarta les lèvres. J'étais au paradis…
La suite la semaine prochaine.