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Fantasmes lesbiens (suite) : « Je n’ai pu m'empêcher de glisser ma main entre mes cuisses »
À ce moment, nous avons toutes les deux entendu l'une des autres filles ouvrir la porte de sa chambre et descendre les escaliers. Nous avons eu juste assez de temps pour remettre nos cheveux en place comme si de rien n’était. Malheureusement le moment était perdu.
Nous sommes allées chacune dans notre lit respectif. Alors que j'étais allongée nue dans mon lit, je n’ai pu m'empêcher de glisser ma main entre mes cuisses. Je pensais à Léonie, au moment que nous venions de vivre. Je me frottais doucement quand j’ai entendu Léo dans la pièce voisine. J’avais l’impression de pouvoir distinguer le bruit de son doigté, le bruit sifflant de ses doigts pénétrant son vagin. Comme j’aurais aimé être là avec elle, la regarder, la rejoindre, la toucher, l’embrasser, lui caresser le corps avec mes mains chaudes et tremblotantes. Je me suis mise à me doigter fort en m'imaginant Léo en train de faire de même. A ce moment j'ai entendu un gémissement étouffé à travers le mur. Elle atteignait certainement son apogée. Le mien a suivi dans la foulée.
Le lendemain matin, je suis restée longtemps au lit. Je craignais de descendre pour le petit déjeuner. Je pouvais entendre les autres déjà en bas, et me demandait si Léo avait dit quelque chose. Je mourrais d'embarras.
Je suis sortie enfin du lit, j’ai juste mis un T-shirt pour aller à la salle de bain. Après quoi j’ai rejoint les filles dans la cuisine. Je pensais qu'elle n'avait rien dit à personne.
Désirs lesbiens : « Je me sentais excitée, mon vagin palpitait »
J’ai jeté un coup d'œil à l'endroit où Léonie était assise. Elle portait juste sa nuisette. Elle m’a souri, la tête légèrement inclinée ; c'était la première fois que je la regardais autrement qu’avec le regard d’une colocataire et amie. Je revivais à l’instant le baiser que nous avions échangé la veille, sa main entre mes cuisses.
Je lui ai souri en retour et me suis surprise à observer ses mamelons à travers sa nuisette. Mon regard errait sur son corps. Elle croisa lentement, si lentement et délicatement ses jambes, sa nuisette remontant sur ses cuisses, je pouvais presque voir son entrejambe. Je suis soudainement sortie de ce moment d’égarement et j’ai relevé brusquement la tête.
Je me sentais excitée, mon vagin palpitait, voulait de l'attention, la sienne. Je pouvais sentir mes mamelons durs se tendre sous mon T-shirt. A chaque petit mouvement que je faisais, je pouvais sentir la matière frictionner mes mamelons, les faisant devenir encore plus sensibles. Je savais que je devais rougir. Je me suis versée une tasse de café et me suis dépêchée de monter à l'étage pour essayer de me reprendre.
Je me suis assise sur mon lit, buvant mon café, essayant de rassembler mes pensées. J'ai entendu la porte d'entrée s'ouvrir et puis Anne et Lucie ont annoncé qu'elles partaient faire du shopping. J'ai alors entendu Léonie monter les escaliers, je sentais mon pouls s'accélérer, je n'étais pas prête pour ça, ma bouche était sèche.
« Tu n'as pas besoin des toilettes, je vais prendre une douche », dit-elle.
J’ai réussi à bégayer un non. J’ai poussé un soupir de soulagement. Ma bouche était encore sèche, alors j'ai décidé de me faire une autre tasse de café.
Amour entre femmes : « Ses fesses pleines de mousse »
J'ai ouvert tranquillement ma porte ; j'étais sur le point d'entrer dans le couloir quand j'ai remarqué qu’elle n'avait pas fermé correctement la porte de la salle de bain, j'ai jeté un bref coup d'œil dans l’entrebâillement de la porte. C’était à couper le souffle. À travers la vapeur, je pouvais l’entrapercevoir, elle était debout dans la douche, dos à moi, ses longues jambes minces légèrement écartées, ses fesses pleines de mousse. Je l’ai observée, comme hypnotisée, tandis qu'elle frottait ses seins dont je devinais la forme. D'où je me tenais en regardant, je pouvais à peine distinguer les courbes de ses seins.
Je voulais continuer de regarder mais je craignais qu'elle ne se retourne et me surprenne, alors je suis retournée en bas pour me verser un autre café.
J'aurais dû rester en bas, mais ma curiosité a pris le dessus sur moi, peut-être que je pourrais avoir un autre aperçu de ce corps magnifique sous la douche…
Je pouvais toujours entendre la douche couler, mais il y avait un autre bruit, des gémissements. Elle était toujours sous la douche, toujours dos à moi, les jambes étaient écartées. Je regardais ce spectacle fascinant. Sa main frottait furieusement son clitoris. La mienne effleura doucement ma poitrine à travers mon T-shirt.
Je me suis ressaisie rapidement et j’ai quitté le pas de la porte de la salle de bain pour aller dans ma chambre. Je me suis assise sur mon lit, repensant à la scène que je venais de voir encore et encore dans ma tête et espérant qu’il y aurait une suite à la soirée de la veille…
La suite la semaine prochaine.