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Découverte du plaisir entre femmes : « Pas de verge à se mettre sous la dent »
Pendant ma deuxième année à l'université, j'ai partagé un appart avec trois autres filles. Léonie, connue de tous sous le nom de Leo, une grande fille mince, brune et très extravertie. Il y avait aussi Anne qui était la sensible du groupe ; très simple, elle était assez petite mais bien proportionnée et avec des cheveux auburn. Lucie était la timide, mais elle était celle dont tous les garçons rêvaient. A peu près ma taille, dans les 1m70, avec de longs cheveux blonds et de gros seins. Elle aurait facilement pu être un modèle. Et puis il y avait moi, bien sûr, Jenny. J'ai les cheveux foncés, je suis assez mince et sportive. Nous nous entendions toutes très bien. Nous n’avions aucune gêne concernant la nudité. C'était tout à fait normal pour nous de nous promener dans la maison à moitié nues. Nous nous empruntions mutuellement des vêtements. En somme nous étions très unies.
C'était un vendredi soir et nous avions choisi de passer la soirée à la maison. Quelques bouteilles de vin, un plat à emporter chinois et nous nous sommes installées dans le salon pour regarder un film. Une fois le film terminé, nous étions déjà assez éméchées. Anne est partie se coucher la première avant de finir ivre. Typiquement Anne. Lucie a pris un autre verre de vin avant de nous quitter elle aussi, titubant direction sa chambre.
Leo et moi avons ouvert une autre bouteille de vin et avons essayé de trouver quelque chose à regarder à la télévision. Alors que nous parcourions les chaînes, nous sommes tombées sur un film érotique. Nous l'avons regardé en commentant non sans rire le jeu des acteurs. C'était assez sobre, pas de verge à se mettre sous la dent.
Aventure lesbienne : « Nos langues explorant maintenant la bouche de l'autre »
Malgré la relative pudeur du film, je me suis sentie légèrement excitée, surtout lors de la première scène lesbienne. Nous avions cessé de rire du film et nous avons toutes les deux regardé attentivement les deux femmes qui faisaient l'amour à l’écran. Alors que les deux étaient en position « soixante-neuf », je n’ai pu m’empêcher de laisser échapper un léger gémissement. Leo se tourna vers moi et me demanda si la vue des deux femmes m'excitait.
J’ai menti et dit que pas du tout.
En la regardant plus attentivement, j'ai remarqué que ses mamelons étaient durs à travers son T-shirt. De toute évidence, elle trouvait le film assez intrigant aussi. Nous avons continué à regarder et pendant que le générique défilait, elle s'est tournée vers moi et m'a demandé ce que j’avais pensé du film. Il était clair qu’elle faisait mention à la scène lesbienne. Cette fois je n’ai pas réussi à mentir. Elle l’aurait remarqué, en même temps il n’y a rien de mal à trouver un film érotique excitant. Je lui ai alors posé la même question.
« Sais-tu ce qui m'a le plus excitée ? La scène entre filles ».
J’ai jeté un coup d'œil rapide vers Leo, ses tétons piquaient encore à travers son T-shirt. Sans aucune arrière-pensée, certainement pas de ma part, nous nous sommes légèrement rapprochées l’une de l’autre. Elle m'a regardée et nous avons lentement rapproché nos lèvres. Notre premier baiser était plutôt un smack imparfait qu’un véritable baiser langoureux. Nous nous sommes regardées une nouvelle fois dans les yeux et le baiser est devenu plus passionné. Mon premier baiser avec une autre femme. Je me souviens de ses lèvres douces, nos langues explorant maintenant la bouche de l'autre ; y penser maintenant me fait frissonner d'excitation.
Histoire érotique lesbienne : « Mes doigts serpentant sa culotte »
Alors que le baiser continuait, je déplaçais lentement mes mains pour caresser ses seins à travers son T-shirt pour sentir son excitation. Leo, pour ne pas être en reste, glissa ses mains sous mon T-shirt et caressa doucement mes seins à travers mon soutien-gorge, qu’elle souleva par la suite, tirant et pinçant doucement mes mamelons.
Après quelques minutes, j'ai retiré une de mes mains de son T-shirt et l'ai placée sur sa cuisse que j’ai parcourue jusqu'à l’aine, je n'arrivais pas à croire à quel point je me laissais aller et j'ai commencé à la frotter à travers son jean, sentant presque la chaleur provenant de son vagin. Elle gémit doucement et laissa ses jambes s'ouvrir légèrement, me donnant ainsi un meilleur accès.
Nous avons continué à nous embrasser, et maintenant je sentais une de ses mains descendre sur mon ventre jusqu’à mon pubis. Plus elle frottait, plus je pouvais sentir ma chatte se mouiller. J'en voulais plus. J'ai défait le bouton de son jean puis j'ai lentement baissé sa fermeture éclair. J'ai glissé ma main dans son jean, mes doigts serpentant sa culotte. Je pouvais sentir ses poils pubiens vaporeux, mes doigts désireux de continuer leur voyage.
La suite la semaine prochaine…