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Chaude rencontre lesbienne : « La chaleur de sa peau secoue mon corps tout entier »
Sophie ferme la porte derrière nous. Il fait sombre, seule une lueur nous parvient d’une lampe que j’avais laissée allumée dans la chambre à coucher qui éclaire légèrement le couloir. Le calme dans l'appartement ajoute à l’excitation. Tout ce que je peux entendre, c'est notre souffle précipité contre le silence. Les mains dans le dos, je me sens plus timide que jamais. Il me semble passer une éternité avant que Sophie ne se tourne enfin vers moi.
Elle tourne la tête un peu pour attirer mon regard et pose sa main sur mon menton, inclinant mon visage vers elle.
« Toujours sûre Mélanie ? »
Aucun son ne sort de ma gorge serrée, alors je hoche la tête. Maintes et maintes fois.
Enfin, je murmure : « Oui, je suis sûre. Pour sûr. »
Elle sourit un peu et me regarde dans les yeux, comme si elle revérifiait pour s’en assurer une fois de plus. Le fait qu’elle prenne son temps avec moi, s’assurant que j’ai la certitude de vouloir cela, me rend deux fois plus excitée que je ne le fusse auparavant. Elle ne cesse de me regarder : ses yeux parcourent mon visage, mon cou et tout à coup, je me sens si impatiente. Je veux la supplier de faire quelque chose, n'importe quoi, mais quelque chose.
Ce qui en sort est un murmure essoufflé : « S'il te plait ».
Elle se penche et embrasse mon front. Le bout de mon nez. Puis un bref baiser sur mes lèvres. Un côté de ma mâchoire. Près de mon oreille. Dans mon cou. En bas de ma clavicule. Sur ma poitrine.
Je gémis, je sens mon corps se tendre.
Je la sens me sentir, chaude et humide, contre ma peau et cela me fait frissonner.
Récit de lesbiennes : « Quelques secondes pour saisir le rythme de son baiser »
Et Sophie de me dire : « J'ai tellement envie de toi. Je veux… je veux que ça soit aussi bon pour toi que pour moi. »
Je ne peux qu’expirer tout mon désir et cambre le dos. En poussant ma poitrine plus profondément dans sa main, un petit gémissement s'échappe de ma bouche.
Et c’est ce qui brise enfin la contrainte de Sophie. Elle a toute mon approbation. Mon corps lui est voué. Elle lève la bouche vers la mienne et m'embrasse profondément et ses mains se lèvent de chaque côté de mon visage alors que sa langue se mêle à la mienne.
Je me sens novice, presque hébétée comme une adolescente lors de sa première danse, ne sachant pas quoi faire. Mais cela ne prend que quelques secondes pour saisir le rythme de son baiser, pour suivre son tempo, pour rendre ma bouche à la danse de sa langue. Je la sens respirer contre mes lèvres, haletante maintenant.
Intuitivement, mes hanches poussent vers elle et sans un mot, sans rompre le baiser, elle pousse son genou vers l'avant et le glisse entre mes cuisses, poussant la jupe de ma robe avec elle jusqu'à ce que le haut de son genou soit contre mon sexe. Son genou est dénudé, la chaleur de sa peau secoue mon corps tout entier.
Je gémis, brisant ainsi le baiser.
« Tu es déjà tellement mouillée. Je peux sentir à quel point tu es mouillée », répond-elle en me mordillant le lobe de l’oreille. Elle continue de pousser son genou contre moi et je m’appuie contre elle pour augmenter la pression contre sa jambe.
Elle ouvre les boutons sur le devant de ma robe, révélant mon soutien-gorge en dessous. Sa main se glisse dans la robe et me serre à nouveau la poitrine.
Histoire lesbienne : « Je sens sa main descendre entre mes jambes »
« Sophie, j'ai envie » Je ne sais pas de quoi j'ai envie, mais je ne cesse de ne le répéter, encore et encore, en me frottant âprement contre elle. « J'ai envie ... envie …»
Elle retire brusquement sa jambe en arrière et, un instant, je suis alarmée : qu'est-ce qui ne va pas, qu'est-ce que j'ai fait ? Mais elle me prend la main et me tire derrière elle dans le couloir en direction de ma chambre. Quand nous y arrivons, elle me dirige pour que je tourne le dos au lit.
Je la regarde, ne sachant pas quoi faire.
Elle pose ses mains de part et d'autre de mon visage, me caressant les cheveux et les joues.
Elle se penche et m’embrasse. « Tu sens si bon. »
Tandis qu’elle parle, elle me repousse doucement jusqu’à ce que le défi de tenir debout atteigne le point de basculement et que je me laisse tomber en arrière sur le lit.
Elle m'embrasse encore et encore, passant de mes lèvres à mon cou. Elle descend légèrement, son corps sur le mien. Elle fait une pause, déboutonnant le reste des boutons de mon chemisier et l'ouvre complètement. Sa bouche se referme sur un mamelon, à travers mon soutien-gorge. Elle s'arrête, passe un doigt dans l’attache du soutien-gorge et la tire pour exposer ma poitrine. Elle lèche lentement tout autour de mon mamelon. Je gémis sans arrêt.
Je me sens tellement bien que je ferme instinctivement les yeux pour me concentrer au maximum. Elle continue encore une minute, léchant lentement et suçant. Soudainement, je sens sa bouche grande ouverte, aspirant autant que possible mes tétons dans sa bouche. Mes hanches commencent à s’agiter : je sens sa main descendre entre mes jambes.
La suite la semaine prochaine.