- Blog
- Nuit lesbienne : Prise entre deux belles femmes latines
Nuit lesbienne : Prise entre deux belles femmes latines
Le soleil était couché depuis de longues heures, pourtant les cris de joie des fêtards résonnaient encore sur la plage. Je n’avais pas vraiment beaucoup bu cette nuit-là, je voulais savourer chaque instant de mon avant-dernière nuit à Lisbonne.
Main dans la main, Maria, une fille que j’avais rencontrée au début de mes vacances, et moi-même, parcourions ensemble la piste de danse, nos corps bronzés se mêlant au rythme irrésistible de la musique. Nous étions très tactiles, bien que Maria maintenait qu’elle était hétéro… En à peine deux semaines j’avais pu constater qu’elle aimait les hommes et que, avec sa beauté latine et son petit corps voluptueux, les hommes l'aimaient aussi.
Quant à moi, je ne saurais trop dire maintenant ce que je préfère, même si je n’avais connu, jusqu’à cette nuit-là, que des hommes. Il n’était pas rare pour moi de me surprendre à regarder les courbes d’une autre femme… Je me suis toujours demandée ce que cela ferait d’enrouler mon corps autour de celui d’une autre fille.
Comme si elle pouvait lire dans mes pensées lubriques, qui n’avaient pour point de fixation que le corps bronzé de Maria se frottant contre le mien, une autre fille à l’air ibérique se mit à danser avec Maria et moi. Je fus soudain prise entre deux belles femmes latines. Leurs bras s'enroulèrent autour de moi et, à ma grande surprise, Maria m'embrassa.
Mon cœur battait très fort, mes tétons pointaient dans ma chemise. Je me suis laissé emporter par le courant de caresses de ces deux magnifiques créatures.
Expérience lesbienne : « Ses lèvres humides se confondirent dans un baiser profond »
Finalement, sans que je ne sache trop comment cela est arrivé, nous nous sommes retrouvées dans l’appartement de Maria, peut-être une demi-heure après avoir flirté sur la piste de danse. Les deux femmes ont déboutonné ma chemise et ont retiré ma mini-jupe. Chair de poule, frissons, frémissements, je ne savais plus où donner de la tête.
J'étais en extase absolue entre ces deux filles. Elles aussi ont fini nues, nos corps emmêlés dans le lit de Maria. Je chevauchais Maria tandis qu'elle suçait mes mamelons en me frottant le clitoris avec ses doigts manucurés à la française. L’autre fille, qui se prénommait Elise, s’est agenouillée derrière Maria. Ses lèvres humides se confondirent dans un baiser profond et passionné avec celles de Maria.
Nous nous sommes allongées, les jambes liées, embrassant, léchant nos mamelons dressés. Mes doigts, tels une clé, ouvrirent la porte humide d’Elise dont je massais le clitoris qui se raidissait. Elle léchait les mamelons de Maria, gémissant de plaisir alors que mon doigt se frayait un chemin dans son trou contracté et étroit. Ce moment était différent de tout ce que j'avais connu auparavant. Les corps d’Elise et de Maria ressemblaient tellement aux miens, je savais exactement comment agiter mes doigts à l’intérieur d’Elise, la faisant se tordre autour d’eux comme si elle était possédée.
Ses cris devinrent de plus en plus forts et aigus, jusqu'à ce que finalement, d'un seul cri, ses entrailles versent leur doux nectar musqué. J'ai offert mes doigts dégoulinants à Maria, qui les a sucés avec avidité.
Alors que Maria introduisait ses doigts en moi, je posai Élise sur le lit, plongeant dans son obscurité imprégnée de désir. Je n’avais jamais fait cela auparavant, mais guidée par mon instinct, j’ai léché et taquiné son clitoris.
Nuit d’amour entre femmes : « J’ai gémi dans l’entrejambe palpitante d’Elise »
De temps en temps, plongeant ma langue dans son vagin, je suçais doucement son petit bout rose Elle se balançait contre mon visage luisant, me tenant la tête contre elle. Pendant ce temps, Maria se rendait au point de rendez-vous de mon plaisir, claquant doucement mon cul rond et serré. Mon liquide s’écoula et j’ai gémi dans l’entrejambe palpitante d’Elise, continuant de la dévorer jusqu’à ce qu’elle aussi hurle son orgasme sans retenue, son corps pris de tremblements se mouvait dans tous les sens.
Maria m'a doucement poussé sur le lit, de sorte que j'étais à plat sur le dos. Maria a mené Elise vers mon vagin tremblotant. Et alors qu'Elise commençait à me taquiner les cuisses, je gémissais de bonheur. Mes gémissements étaient étouffés quand Maria se laissa tomber sur ma bouche ouverte. Alors que je léchais la douce peau de Maria, Elise enfouissait son visage entre mes jambes.
Maria gémissait, de petits halètements doux s’échappaient de sa gorge. À mon tour, je saisis Elise par ses longs cheveux épais, frottant sa bouche avec vigueur contre mon vagin. J'ai plongé ma langue au plus profond de Maria et suis rapidement revenue dans la zone autour de son clitoris érigé. Elise a commencé à bouger rapidement sa langue chaude et humide contre mon propre clitoris, alors j'ai fait de même avec Maria.
Nos cris se faisaient de plus en plus puissants dans nos bouches plongées dans l'obscurité musquée des lieux les plus sacrés des unes des autres. Visages dégoulinant de transpiration et de mouille, mains s’agrippant à nos peaux humides, l’excitation touchait à son but. Maria, Elise et moi, les dos arqués, le suc s’écoulant dans nos bouches ouvertes hurlant de plaisir, sentions jusqu’à chaque centimètre de notre peau qui picotait. Le concert d’orgasme s’acheva au petit matin d’une nuit inoubliable…