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Mon ami hétéro : Tu veux sucer une grosse bite, pas vrai ?
Je connais Marco depuis des lustres. Il était le gars le plus cool et le plus grossier de l'école. Il se vantait d'avoir la bite la plus longue et la plus grosse, et le renflement de son pantalon semblait lui donner raison — j'avoue que je prêtais déjà attention à ce genre de détails pendant mon adolescence. Lorsque nous sortions avec lui en soirée et que nous parlions de filles, il faisait le gros dur qui se tapait qui il voulait. Je me faisais petit, j’écoutais, car j’étais trop timide à l’époque. Ce n’était pas le genre de conversations auxquelles je prenais part même si j’aimais écouter.
Après plusieurs années sans aucun contact, nous nous sommes retrouvés dans la même entreprise. Notre passé commun nous a en quelque sorte soudés. Nous sommes devenus très bons amis. Ce qu’il ignorait cependant, c’est qu'il m'excitait. Il a une petite amie, mais cela ne l’empêche pas de parler tout le temps de seins, de chattes et même de pédés ... Il n'a pas trop changé sur ce point.
Son langage corporel, son assurance et ses tatouages large me plaisaient mais il n'était pas question de lui dire. Qu'auraient pensé les autres collègues ? Personne ne sait que je suis homo. Je l'observais donc discrètement, lui qui porte souvent des habits moulants qui mettent en valeur son corps musclé.
Un vendredi soir, peu de temps avant l'heure de fermeture, il est venu dans mon bureau et nous avons eu à nouveau une de ces conversations portant sur le cul. Je dis conversation, mais je devrais plutôt dire monologue. Il a parlé et parlé, entre autres de son énorme collection de porno : plus de 200 DVD que sa copine aime également regarder avec lui.
Mon ami hétéro : « ça te branche de mater un porno ? »
« Mec, viens à la maison, je te montrerai mes trésors ! » Dit-il en me saisissant la cuisse. « T'as un truc de prévu ce soir ? »
J'étais dispo et j'ai donc accepté son invitation sans savoir si cette main posée sur ma cuisse signifiait ce que je pouvais en penser.
« Mais avant, il faut acheter des bières ! » s'est-il exclamé tout excité.
Son appartement était un peu chaotique, avec des affiches de concerts rock sur tous les murs, des vêtements traînant sur le sol, et un vieux canapé géant, sur lequel je me suis immédiatement installé.
Nous avons décapsulé deux bouteilles, trinqué et bu une grande gorgée.
« Bon, ça te branche de mater un porno ? Du classique ou quelque chose en particulier ? »
Je ne savais pas quoi répondre même si je pensais en moi : « Mec, montre-moi juste ton gros morceau pour voir s'il est aussi gros que tu l'as toujours affirmé ! »
« Bon, j'ai quelque chose pour toi, tu vas kiffer ! » dit-il en sortant du boîtier un DVD qu'il inséra dans le lecteur. Il me tendit une seconde bière et en ouvrit une de plus pour lui. Il se laissa tomber sur le canapé à côté de moi, suçant sa bouteille et actionnant la télécommande.
Mon ami hétéro : « Fais pas ton timide »
Il ouvrit son pantalon, le baissa jusqu'au cheville et se mit à l'aise. J'étais gêné et ne savais pas si je devais en faire de même. Quand on ne sait pas, on s'abstient. Alors je n'ai rien fait. Marco 'est frotté la bosse qui grossissait dans son caleçon et a écarté les jambes comme s'il avait été seul. Il gémissait et grognait. Je jetais par moments des regards discrets sur sa bosse. Soudain, il sortit son gros membre en massant ses couilles velues.
« Bah, alors, t'es timide ? Fais pas ton timide, au lycée on avait l'habitude de ce genre de soirées. »
J'ai sorti mon sexe et me suis branlé en regardant vaguement l'écran. Je n'arrivais pas à penser à autre chose que son membre gigantesque. Mais je me disais qu'il ne voulait rien d'autre que de se branler en ma compagnie, comme au lycée, en souvenir du bon vieux temps.
La scène qui était déjà invraisemblable est devenue surréaliste lorsque sa petite amie est entrée dans le salon, complètement nue, même pas surprise de me voir avec la queue à l'air á côté de son homme. Plus gênant encore, elle s'est mise à quatre pattes pour le sucer.
« Oh mec, c'est pas cool ça ! » Ai-je dit en riant jaune et en remettant mon sexe dans mon pantalon.
Marco rit et me dit : « Ne sois pas si coincé, enlève tes vêtements, montre-moi ce que tu as à offrir ! »
J'ai hésité une seconde. J'avais rêvé plusieurs fois d'une telle situation. Je n'avais pas droit de laisser filer cette opportunité. J'ai rouvert mon pantalon, l'ai baissé jusqu'aux genoux et j'ai commencé à me branler...
Mon ami hétéro : « Eclaboussé des dernières gouttes son visage barbu »
« Eh bien, je savais que le film allait te plaire » dit Marco en se levant. Il a commencé à bouger comme une strip-teaseuse professionnelle devant moi, m'a regardé de façon provocante et s'est mordu les lèvres, tandis qu'il mettait les deux mains dans son caleçon.
« Je te connais, mec, dit-il, tu veux sucer une grosse bite, pas vrai ? » Il se mit à rire la bite à l'air que j'ai attrapée avec les mains. Je l'ai léché devant sa copine qui se touchait. Marco grognait comme un buffle.
J'ai sucé son morceau monstrueusement gros et aussi ses boules poilues. Il enfonçait son gros sexe au fond de ma bouche. J'ai avalé sa queue aussi profondément que possible. Puis il a commencé à m'éjaculer dans la gorge et j'ai avalé autant que je pouvais. Mais il a continué à éclabousser et je ne pouvais pas avaler ce flux qui se déversait dans ma bouche et qui en débordait. Son sperme chaud coulait sur mon visage et sur ma poitrine.
Quand il eut fini, il gémit une dernière fois et me dit : « Je savais que tu étais un coquin refoulé. »
Puis il se laissa tomber sur le canapé, les jambes écartées, et dit : « A toi maintenant ! »
Je me suis assis à côté de lui et l'ai laissé enfourner ma bite dure dans sa bouche brûlante. Il n'a pas fait grand-chose, se contentant de me lécher et de me sucer avec sa langue et ses lèvres. Mais c'était suffisant pour me faire jouir. Plus que la pipe en soi, qui n'était pas époustouflante, c'est surtout la vue de mon hétéro de copain avec ma bite dans sa bouche qui m'a fait jouir sans fin. Marco a avalé mon sperme. J'ai sorti ma bite et lui ai éclaboussé des dernières gouttes son visage barbu.
Immédiatement, il baissa la tête et m'embrassa fort. Sa bouche était pleine de sperme et j'ai avalé mon propre sperme.
Marco est tombé en arrière, sa bite toujours énorme à moitié raide sur sa cuisse.
« Je savais qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas chez toi, mec, content de t'avoir décoincé ! » Il me sourit. « La prochaine fois ma petite amie te fera découvrir d'autres choses » conclut-il dans un clin d'œil.