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Première expérience de sexe anal gay : L'huile chaude dans la fente de mes fesses
J'ai toujours refusé à mes petits amis de me prendre dans le cul. Actif, et rien d’autre. J’étais sans compromis. Je craignais la sodomie comme rien d’autre. Mais j'ai découvert qu’il ne faut jamais dire jamais. Ce dicton est tellement très vrai que cela en devient presque effrayant.
Mardi soir dernier, Benoît m'a offert un excellent massage du dos avec de l'huile de graines de sésame tiède. Il m’a massé le dos pendant un long moment comme il sait si bien le faire, puis il a appliqué de l'huile chaude sur mes fesses et mes cuisses. Il a massé l’intérieur de mes jambes, ensuite les fesses, puis a versé une partie de l'huile chaude dans la fente de mes fesses. Après m’avoir détendu au possible, il a glissé un doigt dans mon petit trou. Je me sentais détendu, très excité et impatient de voir ce qui allait se passer ensuite.
Benoît s’est assis à califourchon sur le dos de mes cuisses et il commencé à frotter sa queue de haut en bas dans la fente de mon cul. Il la frottait par moments sur mes parties intimes qui pendaient entre mes cuisses. Il s’est avancé plus près de moi encore et a poussé légèrement contre ma rondelle. Son gland si énorme qu’il peinait à entrer dans mon petit trou du cul. À ce moment, Benoît a arrêté de pousser. Mais j’étais tellement excité que je secouais mon cul contre sa bite pour qu’il me la rentre dans le cul.
Première expérience de sexe anal gay : « Je mordais l'oreiller pour ne pas crier »
Nous avons continué ce va-et-vient jusqu'à ce que mon trou du cul soit de plus en plus détendu et s’élargisse. C’est là que sa queue est entrée dans mon cul. Mon trou du cul a brûlé pendant une seconde quand cela s'est produit.
Benoît a tenu cette position pendant que je bougeais mon cul et poussais sa queue plus profondément encore. J’ai glissé ma main sous moi pour jouer avec queue qui était dure comme le roc.
Benoît a accéléré la cadence, il se balançait de plus en plus vite et sa queue faisait des allées et venues dans mon cul. Je mordais l'oreiller pour ne pas crier et le levais le cul en l'air. Alors que le plaisir augmentait de plus en plus, Benoît a ralenti et a sorti sa queue de mon cul. Je n’ai pas pu m’empêcher d’hurler :
« Baise-moi ! Baise-moi plus fort ! »
Il a glissé sa queue dans ma fente, puis il est à nouveau rentré dans mes fesses. J’ai poussé un cri de jouissance énorme. Il avait dû toucher ma prostate. J’ai eu un coup de chaud à ce moment. La transpiration jaillissait de tous les pores de ma peau.
J’ai une ensuite une sensation bizarre : j’avais l’impression que le sexe de Benoît devenait plus gros dans mes fesses. En l’entendant rugir, j’ai compris qu'il était prêt à se vider les couilles dans mon cul. Il m’a pris par les hanches pour monter mon cul plus haut.
Première expérience de sexe anal gay : « Un puissant jet de foutre »
Alors que je sentais une bouffée de chaleur m’envahir, un puissant jet de foutre s’est déposé au fond de mon cul. J’ai sentis un spasme dans ma colonne vertébrale. Il a mis deux ou trois coups de plus. Je sentais son jus d'amour qui débordait et coulait lentement de mon cul. Après cela, Benoît est resté immobile pendant quelques secondes. Il est sorti de mon trou du cul, puis il m’a soudainement pénétré profondément dans mes fesses, cette fois sans aucune résistance. Après seulement quelques coups de bite profonds dans mon cul, j’ai senti le plaisir revenir de plus bel.
Je voulais plus de sa bite et de son foutre, mais il était totalement épuisé. Il est devenu plus doux et je l'ai laissé sortir sa bite de mon cul. Benoît gémissait, respirait fortement en marmonnant à quel point il n'avait jamais autant kiffé de sa vie. Finalement, Benoît s’est levé, a enfilé un caleçon, puis il est parti dans la salle de bain et est revenu avec une serviette. J’étais allongé sur le ventre, complètement épuisé. Il a nettoyé le jus de baise qui coulait de mon cul sur mes cuisses. Mes fesses tremblaient. Tout mon corps tremblait. Benoît m’a recouvert avec la couverture et s’est allongé à côté de moi pour me réchauffer.
C'est comme ça que j'ai perdu ma virginité anale. Et je dois avouer que je suis content d’avoir enfin franchi le pas. Cela va m’ouvrir bien des possibilités à l’avenir. Peut-être qu’un gang bang anal serait pas mal – Benoît et peut-être deux ou trois autres gars qui me baisent dans le cul et dans la bouche en même temps. Je suppose que cela signifie que je suis devenu une vraie salope de la sodomie !