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Histoire gay : Il m’a pris sous son aile
Salut, je m’appelle Simon et j'ai vécu quelque chose de si indescriptible que ma tête bourdonne encore aujourd'hui. Après avoir obtenu mon diplôme, j'ai postulé pour un stage dans une agence de publicité. À un moment donné, au milieu de l'été, quand j'avais déjà perdu tout espoir, j'ai eu une promesse. Je devais passer six semaines dans une agence de renom. Six semaines qui ont changé ma vie.
Le premier jour, j'ai été présenté à toute l’équipe. Des employés de tous âges qui m'ont très bien reçu. Des gens totalement créatifs, aussi très gentils. J'ai été particulièrement impressionné par Bruno, un italien vivant depuis plusieurs années déjà en France. Il m’a expliqué tous les détails des tâches qui m’attendaient avec une patience angélique. Cela a été fructueux, car de jour en jour j'ai été autorisé à effectuer des tâches plus exigeantes.
A cette époque, j'étais célibataire. Il faut que je dise que les relations ne duraient jamais bien longtemps avec moi. Jusqu'à mon arrivée dans cette agence, je n'avais couché qu'avec des filles, mais honnêtement je n'ai jamais pris mon pied. Et puis je me suis souvent surpris à admirer les hommes beaux. Surtout les gars musclés, les gars forts qui donnent l’impression de tout maîtriser. Mais d'une certaine manière je n'osais pas encore vraiment. Je vis avec mes parents et ils tomberaient malades s’ils me voyaient avec un petit ami.
Histoire gay : « Son autorité naturelle et surtout sa beauté me fascinent »
Ces derniers temps, quand tout le monde dort à la maison, j’allume mon ordinateur portable et je regarde encore et encore des vidéos gays. Difficile de dire pourquoi cela me plaît autant. Je regarde un peu de tout, mais ce que j’aime le plus en ce moment, ce sont les vidéos qui mettent en scène des gars plus âgés avec des jeunes hommes. Avec le recul je me rends compte que ce n’était que la projection de mon désir pour Bruno qui est plus âgé et expérimenté que moi. Mais revenons à ce fameux stage dans l'agence et surtout à Bruno, justement.
Il m'a tout de suite pris sous son aile. Sa manière sereine mais stricte d’aborder les choses, son autorité naturelle et surtout sa beauté me fascinent. Honnêtement, si je devais faire le portrait-robot de mon homme de rêve, ce serait lui qui apparaitrait sur le dessin. Pour vous faire un tableau, Bruno est grand, il a une stature athlétique, des cheveux noirs, la barbe bien soignée et porte toujours des vêtements chics. En plus d’être beau, le gars a du goût.
Bruno était un bosseur qui restait toujours à l'agence plus tard que les autres, parfois jusque tard dans la soirée, alors que tout le monde était à la maison en train de se reposer. Comme j’avais compris qu’il aimait les hommes, je me suis débrouillé pour faire des heures supplémentaires. Un soir où je n’avais pas forcément grand-chose à faire, j’ai attendu que les collègues s’en aillent en espérant que Bruno resterait. J’avais eu du flair, car au bout d’un moment nous nous sommes retrouvés seuls.
Histoire gay : « Il a posé sa main sur ma cuisse »
Pour m’occuper et ne pas éveiller trop de soupçons, j'ai envoyé quelques mails par-ci par-là. Il fallait bien justifier ma présence. Soudain, la porte de mon bureau s’est ouverte. Mon corps battait la chamade.
« Eh bien, Simon, toujours aussi occupé. Il est tard, tu ne crois pas qu’il est temps de rentrer chez toi ? Les stagiaires ne restant normalement pas jusqu'à 21 heures. »
Il m’a souri gentiment et il m’a dit : « Allez, après le travail, allons prendre un verre ensemble. Je n’en ai pas pour longtemps. Donne-moi vingt minutes. »
Vingt minutes plus tard, Bruno est réapparu dans mon bureau avec deux boissons glacées. Nous sommes allés dans la salle de détente, nous sommes assis confortablement sur le canapé et avons commencé à discuter.
Il n’a pas fallu longtemps pour se rendre compte que nous étions sur la même longueur d’onde. Nous aimons la même musique, aimons la littérature et sommes très friands d’art moderne. Nous avons bavardé avec enthousiasme pendant plusieurs minutes, puis il y a eu un blanc et nous nous sommes regardés profondément dans les yeux.
Il m’a demandé si j’avais quelqu’un dans ma vie. J’ai dit non et lui ai demandé s’il avait une copine. Je voulais être sûr. Il m’a dit qu’il n’avait pas de copine. « Les femmes, ce n’est pas mon truc » a-t-il ajouté. J’ai souri. Soudainement, Bruno a pris l'initiative. Tendrement, il a posé sa main sur ma cuisse et a commencé à m'embrasser passionnément. Je ne pouvais pas imaginer meilleur scénario. Des frissons m’ont coulé le long de la colonne vertébrale et de mes reins qui picotaient agréablement. Je remarque à ce moment-là que mon sexe se lève lentement.
Histoire gay : « Il me tapotait amoureusement les fesses »
Lorsque Bruno a réalisé à quel point je le désirais, il est passé à l'offensive. Il a attrapé ma main et l’a pressée impétueusement vers son entrejambe. Une énorme bosse s’y était développée. A la seule pensée de sa queue, j’ai eu un frisson dans tout le dos. Il a ouvert ma fermeture éclair, a glissé sa main dans mon jean et l’a déposée sur mon pénis en érection.
Il s’est mis à me branler. Je commençais à gémir de plaisir. Puis il s’est penchée et a mis mon sexe dans sa bouche. Très tendre et avec beaucoup d'expérience, il a joué une symphonie avec ma flûte. En même temps, ses mains ont glissé le long de mes couilles, chatouillant mon anus et frottant ma tige par instants. Je n’ai pu me retenir et j’ai lâché une giclée de mon sperme dans la bouche de Bruno qui a tout avalé.
Après avoir bien léché ma queue, il a voulu me sauter dans le cul.
« Détends-toi, respire profondément avec harmonie. Tu vas vite aimer. »
Malgré la peur le désir a triomphé. Je me suis tourné sur le canapé en baissant mon pantalon jusqu’aux genoux. Il a écarté mes fesses et a donc pu voir ma rosette. Bruno s’est mis à me lécher l’anus, à cracher, à élargir le trou serré avec deux doigts. Puis il a mis son gland épais. Je me suis retenu de crier. J’avais un peu mal et une crampe m’a saisi. Son sexe n’était pas enfoncé très profondément mais je sentais la chaleur dans tout mon corps.
Il m’a dit doucement : « il suffit de respirer calmement et de te détendre. Ses va-et-vient s’accéléraient doucement. Il me tapotait amoureusement les fesses par moments.
Peu à peu, je me suis habitué à avoir le cul fourré et lentement les sensations de brûlure ont laissé place à du plaisir en barre. Il a senti que je prenais du plaisir alors il a poussé de plus en plus fort « Est-ce que tu aimes ma bite bien dure dans ton petit trou tendre ? » Et puis il a saisi mes hanches et a accéléré pour atteindre le point final. Il a gémi et j’ai senti le souffle d’un volcan sauvage dans mon rectum. Il m’avait rempli le cul de son sperme chaud.
Plus tard, il m’a ramené à la maison. Nous avons échangé nos numéros de téléphone et il m’a dit au revoir dans un clin d’œil…