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Histoire de cul : J’avais un mec devant moi et un mec derrière
Au vu des histoires que j’ai pu lire ici et là, ce blog me parait être le bon endroit pour publier mon histoire. Surtout qu’une histoire de cul comme celle que j’ai vécu samedi dernier, ça se raconte volontiers.
Comme tous les samedis, je suis sorti en boîte avec mes potes. Et comme tous les samedis je suis parti en chasse. Pour moi, un samedi soir sans plan cul, c’est un peu comme un plat sans sel : c’est fade. Alors je fais tout pour saler ma soirée et repartir avec quelqu’un. En général, ça marche. Dans le milieu gay on n’a généralement pas trop de mal à trouver quelqu’un pour une nuit ou plus si affinité. En plus je n’ai pas à me plaindre de mon physique. Je plais facilement, aux hommes comme aux femmes d’ailleurs.
A peine arrivé en boîte, je suis parti me repoudrer le nez dans les toilettes. C’est mon péché mignon. Une soirée sans drogue, ça fait longtemps que je n’en ai pas passée. Ça désinhibe et ça m’aide à me lâcher. Je sais pourtant qu’il faudrait ralentir la cadence mais je suis jeune. Je me suis promis d’arrêter le lendemain de mes vingt-cinq ans. J’en ai vingt-deux, donc il me reste trois ans de fête. Après, c’est promis j’arrête et j’essaye de me caser. Mais là je n’ai pas envie de trouver l’amour. Tout ce que je veux c’est enchainer un max de conquêtes et d’expériences. Pour l’instant, je tiens le rythme.
Histoire de cul : « Il a commencé à me faire un suçon »
Je suis sorti des toilettes et j’étais déjà dans un autre monde. La techno bouillonnait dans mon corps et me faisait déjà bouger sans retenue. Les mecs défilaient aussi vite que la musique. Tout est plus speed quand on est sous drogue. Je me suis mis au milieu de la piste de danse et j’ai remué au rythme du beat. Les mecs commençaient déjà à me regarder et à m’entourer peu à peu. C’est incroyable la confiance en soi que peu donner cette merde de coke. Et les mecs sentent la confiance. Encore plus quand ils sont eux-mêmes perchés.
J’avais un mec devant moi et un mec derrière. Ils dansaient de plus en plus proche de moi. Avec mon bras gauche, j’ai rapproché de mon cou la tête du mec de derrière. Je voulais qu’il m’embrasse dans le cou. J’adore ça. Ça me donne des frissons dans tout le corps. Il a commencé à me faire un suçon. Je l’ai laissé faire un peu. Puis je me suis retourné. Le mec était un de ces beaux gosses ! Cheveux blonds et courts, visage rasé à blanc et angulaire, yeux bleus et épaules carrés : le genre militaire bien gaulé. J’ai passé ma main sous son t-shirt blanc : il a avait des abdos de fou ! Et des pecs, encore mieux ! Je le touchais au milieu de la piste de danse. Et lui a glissé sa main sur mes fesses, puis dans mon slip pour toucher la marchandise. Je ne suis peut-être pas aussi musclé que lui, mais je m’entretiens et il y a moins gros que mon sexe. Il a eu l’air de kiffer le matos. Il m’a dit un truc à l’oreille. J’ai dit oui sans réfléchir. Il m’a pris par la main et m’a amené en direction du sas où le niveau sonore était moins élevé.
Histoire de cul : « Pas souvent que je baise un mec en missionnaire »
« Ça te branche de venir à la maison ». J’ai dit « quoi, tout de suite ? Et la soirée ? » Il m’a dit, « on continue la soirée à la maison : j’ai tout ce qu’il faut pour s’amuser ». J’étais déchiré alors j’ai dit oui sans réfléchir.
Il habitait à trois stations de métro mais je préférais y aller à pied. Le métro ça me rend parano quand j’ai sniffé. On s’est chauffé sur tout le trajet. On est arrivé chez lui et j’ai repris un peu de poudre pour relancer le truc. Il m’a servi un verre de sky avec des glaçons, puis il a sorti un flacon de poppers et a sniffé trois bons coups. C’était clair : il voulait que je le baise. Eh bien, c’est ce que j’ai fait.
D’abord il m’a sucé. Le genre de sucette qui donne la chair de poule. Il était super excité. Il s’est allongé sur le dos sur le canapé et a levé les jambes en l’air. Ce n’est pas souvent que je baise un mec en missionnaire. Il était super agile. Et il avait une bite et des couilles ! Je ne vous dis même pas le truc. Je suis content de ne pas avoir dû me prendre ça dans le cul ! J’ai mis m’a capote, j’ai craché sur son trou de balle dilaté et j’ai mis ma bite dedans. Il voulait que j’y aille fort et je me suis déchainé. J’ai rarement baisé un mec en y mettant autant de vigueur. C’était même la première fois qu’un mec que j’encule éjacule en plein milieu du truc. Le problème c’est que quand je suis défoncé je peux tenir des heures. J’ai donc continué à le baiser jusqu’à ce que je me vide les couilles dans la capote.
On a pris une douche, on a bu un verre, on a repris un rail de coke et on est repartis à la soirée. On a dansé toute la nuit, chacun de son côté. Moi j’ai pécho un ou deux mecs, mais juste comme ça, pour finir la soirée tranquille, en douceur.