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Triolisme bisexuel : « Sentir l'excitation de Pierre qui jutait de son gland »
Le garçon s’appelait Pierre. Il a expliqué qu'il était très excité d’être autorisé à nous regarder faire l'amour. Un voyeur, me suis-je dit avec le sourire aux lèvres, car le jeune homme n'avait aucune idée de ce que nous allions faire de lui. Ce n'était pas dans nos plans de simplement nous laisser regarder. Le coin câlin était une partie agréablement isolée du club. Le grand lit rond était couvert d'oreillers.
Il s'est assis timidement sur le bord du lit. Ma femme et moi avons commencé nos ébats amoureux. Des baisers chauds pour débuter, nos mains exploraient chaque centimètre carré de notre corps.. En caressant ses tétons avec ma langue, j'ai regardé le jeune homme. Pierre respirait fortement, avait les mains proche de son sexe, mais ne le touchait pas.
Cela semblait l'exciter, parce que son pénis était si gros et si dur qu'il n'y avait plus de place dans son pantalon qu'il a retiré pour se mettre à l'aise. Son gland qui jaillissait me donnait envie de le goûter. Il brillait. Elle m'a dit de sucer plus fort son mamelon. Pierre gémissait. Ma femme l'a remarqué aussi et nous avons eu notre confirmation lorsqu'elle m'a demandé de lui lécher enfin le clitoris.
Avec cette phrase, Pierre a presque joui. Ma femme a souri malicieusement et m'a fait un clin d'œil. Sans un mot, nous avons compris comment nous pourrions rendre notre public vraiment excité. Alors nous sommes passés à l'offensive. Ma femme s'est allongée sur le dos et a écarté les jambes. Elle se positionna consciemment de manière à ce que sa tête soit très proche de Pierre. Si près qu'il était presque entre ses cuisses.
Elle devait sentir l'excitation de Pierre qui jutait de son gland. J'ai commencé à lui lécher la chatte. Je savais après toutes ces années à quel point elle aimait ça. En fait, elle n'avait plus à m'encourager. Mais elle l'a fait ce soir-là juste pour augmenter l'excitation de Pierre. « Allez, mets ta langue au fond de ma chatte » me dit-t-elle. « Suce mon jus ! Je veux l'entendre couler ! ». Pierre a gémi à chaque phrase.
Trio bisexuel : « Ma langue dégustait son petit trou rose »
« Oh oui, lèche mon clitoris et suce-le bien ! »
Apparemment par hasard elle a touché la poitrine de Pierre. C'était dur et doux à la fois. Il a tressailli. « Lèche mon clitoris, lèche plus vite ! » a-t-elle commenté. Elle pencha un peu la tête en arrière et pouvait maintenant voir la queue raide de notre ami.
Il était bien fait, vraiment grand et son gland était incroyablement épais. Quel bijou, ai-je immédiatement pensé. Elle repoussa doucement ma tête, roula sur le ventre. En un mouvement, elle poussa l'un des épais oreillers.
« Et maintenant, lèche mon trou du cul » dit-elle. « Oui, allez, écarte largement mes fesses ! »
J'avais depuis longtemps compris ses intentions et lui ai jeté un autre regard espiègle quand elle s'est retournée brièvement. Ma langue dégustait son petit trou rose. Elle pressa ses fesses plus étroitement contre mon visage, tandis que sa tête approchait de sa géante bite raide. Elle a prétendu que je l’avais en quelque sorte déséquilibrée et qu’elle cherchait quelque chose à quoi s'accrocher. Elle a embrassé sa queue, ou plutôt, elle a essayé. Les doigts fins de sa main ne pouvaient pas encercler le puissant arbre qui se tenait devant elle. J’espérais moi aussi le prendre en bouche un peu plus tard.
Il était confus. Elle tenait toujours sa queue. Pierre me regarda pour s’assurer que je n’étais pas jaloux. Mais au lieu de cela, je lui ai souri. Il s'agenouilla pour qu'elle ait à nouveau sa queue juste devant son visage. Les poussées rythmiques qu'elle recevait chaque fois que j'essayais de pousser ma langue un peu plus profondément dans ses fesses signifiaient qu'elle touchait maintenant le pénis de Pierre avec ses lèvres.
J'ai vu une petite goutte brillante d'anticipation apparaître sur le bout de son pénis. Ma femme a ramassé la gouttelette avec un baiser effronté. Je l'enviais parce que j'aime le goût salé des premières gouttelettes. Nous avons toujours convenu lors des réunions de couple que j’y avais le droit mais ce soir-là c’était l’exception qui confirme la règle. La soirée était de toute façon loin d’être terminée…
La suite la semaine prochaine.