- Blog
- Découverte du sexe anal (partie 2) : « Un gode, du lubrifiant et la volonté d'agir »
Découverte du sexe anal (partie 2) : « Un gode, du lubrifiant et la volonté d'agir »
J'ai aussi commencé à chercher sur Internet pour voir si c'était la bonne chose à faire et si cela voulait dire que j’étais gay. Il se trouve que je prenais plaisir à regarder du porno dans lequel les femmes tenaient la barre, voguaient de manière plus dominante pendant la pipe et faisaient profiter les hommes de leur doigté ou parfois de gros godes pour les faire jouir.
Mon désir de sexe anal a augmenté à partir du moment où je ne consommais plus que du porno avec du contenu strapon dans lequel des femmes enculaient des hommes. Alors j'ai eu une idée, car bien sûr je voulais essayer ce genre de renversement de rôle. J’ai proposé à Nina de regarder du porno avec moi. Pas bien difficile de deviner quel genre de porno c’était. Elle a trouvé le côté dominant de la pratique très excitant. En plein milieu de la scène elle a lancé : « Je pense que tu veux que je te baise avec un gode-ceinture. C’est ok. »
Même si cela était vrai et que j’avais moi-même initié cette thématique, j’ai été un peu surpris par sa prise de parole. Elle m’a dit : « ne t’inquiète pas, cela restera entre nous. J’aime bien l’idée et que cela soit un secret entre nous, cela m’excite encore plus. »
On n’a pas perdu de temps : dans l’heure nous avions déjà visité un grand nombre de sites de vente d’accessoires sexuels. Mais comme je n’aime pas trop commander en ligne, j'ai donc suggéré d’aller dans un sex-shop qui était à proximité. Une semaine plus tard nous y sommes allés tous les deux. Après coup j’estime que c’était une grosse gaffe d’y aller tous les deux. Pour le vendeur comme pour les clients, il était clair que j’allais me faire baiser par mon joli bout de femme après le shopping.
Sexe anal : « Repartis du magasin avec du lubrifiant, un gode-ceinture et un plug »
Quand nous sommes arrivés, nous nous sommes promenés dans les rayons mais comme nous ne nous n’y connaissions pas du tout, il a bien fallu demander au vendeur. Un peu gêné, je suis allé l’aborder. Le mec était très professionnel. Il m’a demandé si j’avais de l’expérience avec des plugs ou des godes. J’ai dit « juste avec le doigt ».
« Et vous voulez commencer en douceur, n’est-ce pas ? » dit-il. J’ai répondu que je me sentais plutôt prêt à passer à l’étape supérieure. Il m’a conseillé un plug. C’est là que Nina a rejoint la conversation. C’était aussi pour elle. Le plug avait quelque chose de trop individuel selon elle. Au final nous sommes repartis du magasin avec du lubrifiant, un gode-ceinture et un plug. Le plug c’était pour m’entraîner seul avant. Le vendeur avait bien insisté sur le fait qu’il faille bien m’entrainer avant, pour ne pas risquer les blessures. Il a aussi dit que de prendre un bain chaud avant permettait de se détendre suffisamment.
Anal : « Du lubrifiant qu’elle répandu sur sa verge artificielle »
Arrivés à la maison, nous avions un gode, du lubrifiant et la volonté d'agir. J’ai d’abord fait couler un bain chaud tous les deux. Mes pensées se sont transformées en fantasmes sexuels effrénés tandis que l’eau coulait et laissait s’échapper un nuage de vapeur dans la salle de bain. Ma défloration anale était maintenant juste devant moi et j'étais stressé. J'ai fini les quelques préparatifs que j’avais prévu pour que cette première soit inoubliable.
J’ai mis une bouteille de champagne au frais, de la musique deep chill et j’ai ajusté l’éclairage dans la chambre. Pendant ce temps elle se préparait. Une fois dans le bain, nous avons vidé la bouteille. Lorsque nous étions totalement détendus, nous avons pris la direction de la chambre. Je me suis allongé sur le lit les jambes écartées. Elle a commencé à m'embrasser et à me caresser, d'abord dans le cou puis sur mes lèvres. Elle est devenue de plus en plus intransigeante : elle a saisi l’arrière de ma tête dans sa main pendant qu'elle m'embrassait et travaillait en même temps mon pénis déjà raide avec son autre main. Et puis elle s’est levée, a dansé pour moi en enfilant le gode-ceinture réaliste, qui mesurait environ 4 cm de diamètre et 18 cm de long.
Elle m’a fait me mettre à quatre pattes, les jambes légèrement écartées, tout comme mes fesses tendues vers elle. Elle a pris du lubrifiant qu’elle a répandu sur sa verge artificielle puis sur ma rosette. Je vivais un moment sensationnel qui ne faisait que commencer.
La suite la semaine prochaine…