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Gode ceinture et domination féminine : « Mes gémissements s’étouffaient dans les draps »
Des vagues de sensations nouvelles m'inondaient d'une intensité toujours plus grande à fur et à mesure que le gode-ceinture s’enfonçait de plus en plus profondément dans mon anus. Une excitation et un plaisir qui ont culminé d'une manière que je n'avais jamais connue auparavant. J’ai mordu l’oreiller de plaisir. Mes gémissements s’étouffaient dans les draps. J’ai attrapé la tête de lit avec une telle puissance que mes mains ont menacé de la casser.
Elle a attrapé ma hanche alors qu'elle envoyait la dernière longueur avec une dernière poussée et j’ai senti ses hanches contre mon cul. Elle m'a serré dans ses bras avec son corps et m'a aplati sur le ventre. Sa poitrine se pressait contre mon dos : le gode était profondément ancré en moi, il donnait vie à ce fantasme qui m’habitait depuis de longues années. Jamais je n’aurais pu imaginer que douleur et plaisir pouvaient être aussi liés. Car il faut dire que j’avais mal, mais il y a eu ce moment où la pointe du gode a touché un point que je pense être le point P – autrement dit la prostate.
Sodomisé par un gode-ceinture : Ses hanches bougeaient en rythme contre mes fesses
Et puis elle m’a dit sur un ton autoritaire : « Dis que tu le veux. Dis que tu veux que ta maîtresse te baise. »
« Oh, s'il te plaît, baise-moi maîtresse, j'ai besoin de toi pour me baiser le cul. » J’étais complètement pris par le jeu qui se jouait dans notre chambre à coucher si calme d’ordinaire. Avec le recul je me demande encore était-ce possible qu’elle agisse de la sorte, elle qui avait été si « prude » pendant tant d’années.
Quoi qu’il en soit, ses hanches bougeaient en rythme contre mes fesses alors qu'elle continuait de me baiser.
« Dis-le encore, dis-moi que tu es ma petite salope et que ton cul m’appartient !»
« Je suis ta salope ! Baise-moi dur maîtresse ! »
Les mouvements qui étaient jusque-là assez lents ont commencé à céder la place à des poussées rapides et courtes qui me donnaient des sueurs dans le dos. Elle s’est penchée plus près de moi alors que les courtes poussées devenaient de plus en plus longues et puissantes. Elle s’est alors mise à me gifler le cul.
Domination féminine : « Juste un instinct animal et un pur plaisir »
Le bruit des fessées sur ma peau nue résonnait presque aussi fort que mes cris.
« Tu es ma chienne, n'est-ce pas ? Ma petite pute. »
« Oui maîtresse, je suis ta chienne, baise-moi plus fort ! »
Ses bras étaient maintenant plantés de chaque côté de ma taille. J'étais consumé par des sensations lubriques. Il n'y avait pas plus de pensée rationnelle en moi, juste un instinct animal et un pur plaisir. J'ai remarqué ses grognements et ses gémissements alors qu'elle me pénétrait, des mots qui se sortaient de sa bouche comme une claque sur les fesses : « tu es ma petite salope ! » Elle a tendu la main sous moi et a attrapé ma bite et mes couilles dans une main et les a serrées avec tout ce qu'elle avait comme force. Des pulsations vibraient au fond de moi.
J'ai senti des spasmes dans ma colonne. Ses seins doux caressaient mon dos alors qu'elle se penchait sur moi et me mordillait l'épaule.
« Jouis, jouis pour moi. Jouis maintenant » haleta-t-elle dans mon oreille alors qu’elle restait enfoncée en moi comme lorsque je jouissais dans sa chatte. J'ai commencé à frissonner et à trembler alors qu'elle lâchait mes couilles pour se saisir de la tête de mon manche, le serrant et le branlant avec vigueur.
Quelques instants plus tard, j'ai envoyé un jet chaud de sperme dans sa paume et sur les draps, ses doigts frottaient toujours ma queue en plein orgasme. Elle s'est effondrée sur moi. Mes pensées flottaient encore dans la béatitude quand je l'ai entendue dire : « Joyeux anniversaire chéri. »
Le cadeau était désormais consommé. Aussi étonnant que cela puisse paraître, nous n’avons plus jamais parlé de cette soirée inoubliable.