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Trio BDSM : « Une grande gorgée du verre qu’il avait lui-même rempli »
Après plusieurs minutes, elle s’est retournée avec un coquin, a regardé le visage de son homme puis le mien.
« J'ai été une très vilaine fille. » Elle a dit cela avec un sourire malicieux sur son visage, avant d’ajouter « tu devrais me donner une fessée. »
« J'adorerais te donner une fessée » lui ai-je répondu.
« Pas sur mon cul. Je veux que tu me fesses la chatte » a-t-elle chuchoté dans mon oreille qu’elle a ensuite mordillée. Elle a mis un oreiller sous son ventre plat, me présentant ainsi son petit cul bien baisé et sa chatte rasée qui avait besoin d’un peu de discipline.
« Frappe fort chéri ! »
Je me suis levé sur mes genoux et j'ai donné à cette fente rasée une forte claque. Elle a sursauté et laissé échapper un gémissement.
« Bats ma chatte, je suis une bonne grosse salope. »
Je pouvais sentir le liquide gicler en claquant le dos de la main sur sa fente rougeâtre. Après une vingtaine de coups, elle s’est contractée soudainement et a crié « Je jouis ! » Elle tenait sa chatte avec ses deux mains, écartait, tirait les lèvres, les serrait, tirait l’anneau de son clitoris. Elle semblait être entrée dans une sorte de transe. Je ne faisais plus que regarder. Son copain se branlait.
« Maintenant, c'est ton tour », me chuchota-t-elle. « Il va battre ta bite. »
« Attends une minute, ai-je protesté, c’est différent, ça va me faire vraiment mal. »
« C'est vrai, a-t-elle reconnu, peut-être que la prochaine fois je te battrai moi-même, j’utiliserai une sangle pour serrer ta bite jusqu'à ce que tu jouisses ou n’en puisses plus. Pour l'instant je vais faire quelque chose de différent dont tu profiteras autant que moi. » Je me demandais où j’avais bien pu atterrir. Ce couple était plus que bizarre. Elle s’est levée du lit et a pris ma main.
Quand nous nous sommes relevés, elle s'est tournée vers son petit ami. « Je vais dans le salon avec lui. Pendant ce temps je veux que tu nettoies ce lit, lèches tout le sperme puis te masturbes dans ce verre. Quand nous rentrerons à la maison, tu boiras le verre devant moi. »
Il a directement baissé la tête et s’en est allé chercher un verre.
« Toi, tu viens avec moi, m'a-t-elle dit en me tirant vers la porte, je ne veux pas te perdre alors viens ici. »
D'un coffre en bois elle a tiré une paire de menottes qui ont claqué sur mes poignets derrière mon dos. Puis elle a passé une laisse autour de mon sexe, m’a tiré par la bite et a saisi un petit fouet en cuir avant de quitter la salle. Mon cœur battait à cent à l’heure, je n’avais jamais fait ce genre de choses et pourtant je me laissais faire. Cette femme avait quelque chose de diabolique. Elle était tellement sûre d’elle, parlait avec un ton autoritaire qui ne laissait aucune place à la rébellion. Je me suis exécuté, car je savais que je pourrais quitter la situation dès que je le voulais. Je voulais simplement voir où se trouvaient mes limites.
Dans le salon, elle a allumé des bougies. Elle m’a mis en position à quatre pattes et m’a fouetté les fesses. Tout du long de cette expérience, elle n’a pas frappé très fort, mais chaque coup semblait plus douloureux que le précédent. Une sensation de brûlure m’a fait lui demander d’arrêter. Elle a alors saisi un gode posé sur la table basse et me l’a enfoncé dans le cul puis dans la bouche. Outre la douleur, il y avait l’humiliation qui faisait mal et du bien à la fois. J’avais le sentiment de m’abandonner entièrement, de quitter ma chair. J’étais à la fois objet et sujet, j’étais au centre de l’attention. Elle m’a baisé le cul pendant un bon moment puis a fait couler de la cire chaude sur mes fesses déjà rougies par les coups. J’ai pu m’empêcher d’hurler, ce qui m’a valu une claque de plus sur les fesses.
J’étais épuisé et je lui ai dit que je n’en pouvais plus. Elle m’a fait un baiser et m’a dit que je m’étais bien comporté. Nous sommes allés dans la chambre où son copain nous attendait. Il m’a regardé puis a pris une grande gorgée du verre qu’il avait lui-même rempli.