- Blog
- Dépucelage homosexuel : « Un spécimen masculin sublimement robuste »
Dépucelage homosexuel : « Un spécimen masculin sublimement robuste »
Mon professeur de yoga Raphael est grand, mais pas trop grand, de carrure athlétique mais pas trop musclé. Le bon équilibre, pour ainsi dire. Il a le teint hâlé, porte des cheveux longs et bouclés qu’il attache la plupart du temps. Il a un air perpétuellement perplexe sur son visage qui lui donne un côté arrogant qui me plait. Comme son humour piquant et son regard impertinent sur la plupart des choses. Il a exactement le double de mon âge. Il en a 36, et moi tout juste 18. Il est divorcé et a fait son coming-out depuis. C’est un spécimen masculin sublimement robuste de la génération de l'amour libre. Je suis son cours de yoga depuis six mois maintenant et j’ai enfin fait le premier pas sans grand espoir. Je ne pouvais pas me douter à quel point je lui plaisais.
Cela a commencé par un baiser spontané au sortir d’un cours pendant lequel je l’avais dévoré des yeux pendant une heure. Nous étions seuls dans sa voiture, nous disant juste au revoir, et soudain un baiser nous colla ensemble jusqu'à ce qu'une voiture derrière nous klaxonne. Après quoi il était un peu gêné. La différence d’âge, je suppose. A moins qu’il se doutât que j’étais encore puceau. Il m’a fait jurer de ne pas le répéter pour l’instant. Pourtant, une semaine plus tard, j'étais dans son lit. Il n’avait plus l’air gêné. Il m’a offert ma première fois.
Première sodomie : « il a lentement travaillé son pénis contre mon trou »
Cela a pris un peu de temps avant que je me lâche et apprécie d’avoir son sexe dans mon cul. Mais il semblait aimer ça. Il était patient, sensuel et préparé. Je me rappelle encore de petits détails qui me donnent des frissons quand j’y repense. Il était fraîchement lavé et sentait le savon et le thé. Je me rappelle de quand il avait retiré sa chemise et son jean, il était plus beau que n'importe quel homme. Il ressemblait à un nageur professionnel à son apogée, tout était bien proportionné, même sa bite toujours dure et galbée.
Au début, je me suis tendu lorsque ses doigts se sont glissés entre mes jambes mais ses doigts étaient doux et habiles. Mes cuisses se sont ouvertes, accueillantes dans des océans de plaisir alors qu'il caressait doucement mon sexe et mes testicules.
Nous étions allongés de côté, face à face. Sa deuxième main s’est glissée dans mon dos, descendant doucement vers la raie de mes fesses. Il a été doux mais son premier doigt m’a fait un peu mal. Il a ralenti la cadence et m’a dit de ne pas m’en faire et de me détendre. Il est passé derrière moi et a pris un truc dans le tiroir. C’était du lubrifiant. Il m’en a passé doucement sur l’anus. Cela a tout de suite facilité l’introduction de son doigt. Un puis deux. Il écartait mes fesses délicatement. Cela commençait à être agréable. Il s’est ensuite assis et m’a dit de le monter comme une amazone. J’ai enroulé mes bras autour de son cou, l'escaladant comme un arbre, dégoulinant de sueur puis, avec la douceur qui le caractérise, il a lentement travaillé son pénis contre mon trou. Tout à coup, je l'ai senti pousser en moi.
Dépucelage sodomie : « Caressant chaque nerf de mon corps à chaque poussée »
J'ai crié. D’une part c’était bien plus gros que deux doigts, d’autre part la pression et l'intensité étaient bien plus importantes, comme un petit coup de couteau à l'intérieur de moi.
Je soupirai tellement la douleur était insupportable. Et puis il y a eu comme une vague de plaisir à la profondeur insondable qui s’est déployée en moi.
Il s'est logé profondément, déplaçant lentement son sexe, caressant chaque nerf de mon corps à chaque poussée. Des sons primordiaux vibraient dans ma gorge, des sons que je n'avais jamais faits auparavant et j'étais comme un animal. Je ne sais pas si c’était un orgasme, mais il y a eu un moment où il a touché un point sensible. J’imaginais que c’était la prostate.
Après cette première nuit d’amour je suis rentré chez moi. Je pouvais à peine rester immobile. Mes jambes étaient comme des ressorts en caoutchouc, comme si je pouvais sauter jusqu'à la maison comme un kangourou, comme si une énergie fondamentale avait été libérée dans ma colonne vertébrale qui me donnait des superpouvoirs. Je me demandais si les passagers pouvaient lire dans mon visage la joie d’un jeune homme qui vient de se découvrir.
J'avais eu de la chance d’avoir eu un bon amant, expérimenté qui a su me libérer. J’étais tombé amoureux, je voulais qu’il me baise éternellement ! Je ne voulais pas que tout s'arrête. Oh mon dieu non, ça ne pouvait pas s'arrêter. J'avais soif de la magie incroyable qui s'est produite lorsque son sexe est entré dans mon cul. Je voulais qu'il me baise à mort. Je voulais aussi le baiser jusqu'à ce que je ne puisse plus tenir debout. Il n'y a pas de drogue plus addictive que la luxure.